vendredi 28 février 2014

ARRIVEE A MENDOZA

San Martin->Mendoza 45 km

La petite étape d’aujourd’hui nous amène à Mendoza en début  d’après-midi.
Nous découvrons la majesté des Andes avec tous les sommets enneigés.  Les longues avenues sont bordées de platanes qui apportent une bonne fraîcheur.
Nous sommes attendus par des rotariens qui viennent pour nous apporter une aide éventuelle ; nous en profitons  pour effectuer un échange de fanions . Un peu de difficulté à se comprendre en espagnol ;
la maman du rotarien parle le français et traduit nos échanges (par portable car elle n’est pas sur place). Notre question concerne le stationnement de la voiture que nous souhaitons effectuer dans un lieu sécurisé qui se trouve bien trop éloigné de notre hébergement. .
Un médecin ophtalmologiste , relation de Jean Pierre, vient nous saluer à l’auberge de «  jeunesse » . Il nous propose un rendez-vous  pour le lendemain . Pas mal  de jeunes étudiants français séjournent à l’auberge (Mendoza est une étape charnière à l’entrée du massif des Andes.
Nous découvrons une ville très animée , avec pas mal de jolis parcs et choisissons de dîner dans une rue piétonne du quartier. (Le beef steack standard fait 350 g !)
Début des vendanges dans une ville qui est universellement reconnue comme étant une des grandes capitales du vin. ; à cette occasion,  une dégustation de  centaines de vins animée par les différents prducteurs est organisée pendant 5 jours de 21 heures à 1 heure 30 du matin (ambiance très festive avec divers orchestres)








mercredi 26 février 2014

LA  PAZ ->SAN MARTIN 100KM
Le beau temps est revenu
Beau ciel bleu avec une petite fraîcheur matinale de bonne augure.
Nous empruntons une route parallèle à l’autoroute n°7 très paisible mais au revêtement quelconque ce qui a occasionné un petit incident mécanique au tandem de Daniel (il a perdu son disque de frein arrière tenu théoriquement par 5 fixations) C’est la conséquence des vibrations du revêtement de route dégradé) ; cela va nous amener à vérifier les serrages de toutes les fixations de nos vélos.
Pause à « la Dormita », petit village animé et interview par la radio locale FM à l’invitation d’un jardinier de passage sur son vélo.
La végétation change : vignes, arbres fruitiers, peupliers d’Italie à écorce blanche, cactus.
On a cru apercevoir La Cordillère mais nous restons sceptiques vu la couleur « blanche » qui fait plutôt penser à des nuages.
Cocorico : les argentins roulent avec des véhicules français (neuf et ancien ; la moitié du parc). On n’est pas certain de la régularité du contrôle technique :
Petits utilitaires Berlingo, Partners, et Kangoo ; beaucoup de véhicules PICK UP dont beaucoup d’anciens modèles Ford, Chevrolet, etc.
Véhicules plus anciens : 2CV, Renault 12, 504 notamment.
Nous sommes hébergés dans un hôtel de San Martin qui se trouve « Avénida de Boulogne sur Mer. En effet, le grand héros argentin qui a libéré le pays du joug des espagnols et qui a son nom sur presque chaque grande place de chaque ville ou village que nous avons traversée est mort dans la misère à Boulogne sur Mer (pour plus d’informations, aller sur google)









mardi 25 février 2014

San Luis->La Paz : 122 km
SOMOS EN LA PAZ
Petit retour sur la soirée de la veille :
Sous l’averse qui n’avait pas cessé, nous sommes allés diner dans le quartier dans un  restaurant en buffet libre . On a très bien mangé. Mais au retour seuls les trottoirs étaient utilisables ; pour traverser les rues, nous avons dû prendre des bains de pieds. En effet, notre ingénieur Véritas nous a fait observer qu’il n’y avait pas de réseau d’évacuation des eaux pluviales et que l’eau suivait un parcours de rues en rues jusqu’aux  « rios » . C’est très probablement volontaire car San Luis n’est pas une ville sans plan d’ensemble ; le profil des rues a dû être calculé pour acheminer cette eau (il y a parfois pas mal de courant).
Nous savons que nous ne pourrons emprunter les pistes prévues qui seront détrempées. Nous savons aussi que nous n’avons pas d’hébergement prévu à Desedeguado qui n’est pas vraiment un village mais un genre d’octroi entre les provinces de San Luis et de Mendoza.(camping « sauvage ») Nous avons donc décidé d’aller jusqu à LA PAZ où nous savons que l’hébergement sera plus facile.(petit hôtel)
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Au matin , le temps est couvert mais il ne pleut pas. Il ne fait pas très chaud. Par contre le vent souffle en notre faveur. Nous ne tardons pas à nous en rendre compte : nous roulons souvent entre 35 et 40 km/h. A titre personnelet de manière purement indicative, le rédacteur du blog  et son  copilote Jean Marc, ont souvent roulé autour de 50 km/h avec même une petite pointe à 55. (Comme dit Odile qui s’y connait, nous sommes limités par notre « développement » (rapport des taille des dents plateau/ pignons)).
De sorte qu’à midi nous sommes arrivés à Desadeguado pour y déjeuner.(80 km)
Remarque sur la circulation des poids lourds : avant notre voyage, nous avions été mis en garde par rapport au mode de conduite des poids lourds. Pour le moment, nous n’avons rencontré aucune difficulté ; ils se déportent sur la file de gauche pour nous laisser du dégagement. Par contre leur masse impressionnante fait un mouvement d’air quand ils passent à notre hauteur qui nous pousse « dans le dos ».  Certes, le trafic est relativement élevé mais les voies sont larges et restent dégagées (rien à voir avec nos autoroutes A1, A4 et autres.)
Quelques personnes aimeraient savoir les problèmes mécaniques rencontrés avec les tandems L(après 900 km)
-pour le moment : aucune crevaison
-tandem de Daniel (le premier jour) : un problème de fixations au niveau de la couronne du  grand plateau (vis-cheminées)
-tandem de Jean Marc : (1er jour) : pointes de dents tordues sur le plateau probablement  problème consécutif au transport (réglé par Daniel qui a ébavuré  avec une lame de scie)
-Tandem de Philippe : un maillon de chaîne cassé
-tandem de Jean Pierre : (4 rayons cassés : 3 avant/ 1 arrière)
Rien d’autre.
Fatigue journalière ?
Le soir, nous apprécions la douche et aimerions ne pas nous coucher trop tard pour faire une nuit « complète ». Oui mais les argentins sont « du soir ». Ils dînent à partir de 22 heures alors que nous partons vers 8H45 le matin ce qui impose un lever vers 6h30. Parfois, nous sommes un peu à court de sommeil (essentiellement quand nous sommes reçus !) Mais nous sommes conscients que cela fait partie de l’aventure que nous vivons.

PS IMPORTANT : le propriétaire de l'appareil qui a fait les photos de ce blog est PHILIPPE, ce qui explique qu'il n'apparaît pas souvent sur les photos.

 Repas du soir à San Luis

 L auberge de Jeunesse (séchage du linge)

 Dortoir des garçons

 Préparatif du départ (matin à San Luis)
 Photo de famille lors d'une pause. La paz est alors à 88km mais pas pour longtemps


Petit oratoire à ND de Junin (Junin, près deBuenos Aires est un lieu de pélerinage argentin.
Beaucoup d'oratoires sur notre parcours manifestent la foi des argentins


lundi 24 février 2014

San José de Morro -> San Luis 97km

San Luis sous le déluge.

Nous avons planté les tentes à San José dans un terrain de camping (rien à voir avec les aménagements que nous connaissons en France). Aujourd’hui nous devons relier San Luis.Avant de partir, petit déjeuner copieux dans un bar-épicerie du villageChose curieuse : notre parcours emprunte une route de 19 km considérée par le policier de service de San José comme pour un conducteur rencontré sur le camping comme infranchissable en vélo
.
Si nous ne prenons pas cet itinéraire, il nous faudra faire un gros détour de 50 km environ. Discussions entre nous. Nous ne sommes pas convaincus par les propos des gens de la région (il y a des incohérences dans ce qu’ils nous disent) et nous convenons que nous verrons bien sur place. En fait, la route en question est, certes, en mauvais état d’entretien avec des ornières mais est fréquentable pour les tandems comme pour la voiture (Rien à voir avec la piste de la veille)

Nous arrivons au km 50 à peu près et décidons de déjeuner. Il fait froid et il commence à pleuvoir. En pleine campagne, il y a justement une école dont le portail est ouvert. Nous nous préparons à nous installer quand arrive le responsable. Il nous permet de déjeuner sur place, nous apporte des chaises, etc.
Mais pendant notre pause le temps s’est dégradé et la pluie est intense. Une accalmie et nous partons. Le mauvais temps s’aggrave et nous nous trouvons sous un déluge d’eau. Avec des coups de vents assez violents. Il pleut toujours aussi fort lorsque nous arrivons à San Luis où certaines rues sont envahies d’eau. (température 16°)
Nous nous installons à l’auberge de jeunesse de la ville guidés par le GPS de Michel. Espérons que demain la pluie aura cessé et le beau temps sera revenu.
.


 paysage du matin dans la campagne près de San José del Morro
 Pause sur le parcours (route dite impraticable!)

 Le temps se gâte

 Cuisine improvisée : purée du jour

Pause sous la flotte





dimanche 23 février 2014

En tandem sur les pistes d’Argentine
De Achiras à San José de Morro 62 km dont 20 km de piste sableuse
Découverte du vent de face à la sortie d’Achiras et des premiers vrais reliefs
Nous montons à 1000 m (le village d’Achiras serait paraît –il à 800 m).
Nous rentrons dans l’Etat de San Luis . Il est prévu un itinéraire qui emprunte un chemin non bitumé sur 20 km. Ce parcours se révèle très sportif car le terrain est sableux… très beau mais aussi très long avec un ou deux passages délicats pour la Peugeot admirablement gérés par Michel. On était heureux d’arriver.
Arrivée à San José où nous installons les tentes. Diner prévu à 21heures 45

L’ambiance reste au beau fixe . Discussions sur le parcours de demain avec différentes personnes  dont le policier de service car une partie de l’itinéraire emprunterait une route « muy malo »




samedi 22 février 2014

De REDDUCCION à ACHIRAS 125 km
La Redduccion
Les missions jésuites du XVIIe et XVIIIe siècles se trouvaient à la zone frontière entre les royaumes de l’Espagne et du Portugal. Elles regroupaient plus de 100 villages indigènes depuis le sud du Brésil actuel, la Bolivie, l’Uruguay, l’Argentine, le Paraguay, le Pérou, la Colombie et le Venezuela.
Au XVIe siècle, les populations indigènes sont exploitées par le système colonial dit d’encomiendas. Ce système permet aux colons de disposer de la main d’oeuvre pour l’exploitation de leurs domaines.
En 1550 et 1551, les conférences de Valladolid reconnaissent le principe d’égalité des droits et des devoirs de tous les hommes et leur vocation à la liberté. La culture des Indiens commencent alors à être reconnue. Ils peuvent commencer à être instruits et catéchisés
Malgré cela, certains colons continuent d’abuser des Indiens, les réduisant à l’état de serfs. En réaction, les ordres religieux développent une nouvelle manière d’évangéliser les Indiens : maîtrise et promotion des langues indigènes, étude et préservation des coutumes locales, mise en place d’une organisation sociale et le progrès économiques de communautés autochtones. Regroupant les Indiens autour de leurs monastères, ils les protègent des excès de l’encomienda, et les sédentarisent
Dès leur arrivée au Pérou, en 1566, les jésuites s’inscrivent dans cette manière de faire. Ils développent le système des « réductions ». Ce mot fait référence à la tentative de regrouper (reducere en latin) dans un même lieu une population indigène et de les réduire ainsi à la vie civile. Les jésuites créent des missions pour les Indiens Mojos (ou Moxos), Chiquitos et Guaranis. En misant sur le strMais les tensions entre les deux systèmes (encomiendas et réductions) et les rivalités entre l’Espagne et le Portugal, sur fond de disgrâce de la Compagnie de Jésus en Europe, feront disparaître ces entreprises
Redduccion était une réduction. Aujourd’hui , c’est un lieu de pèlerinage important . Nous avosn visité l’église avec le padre. C’était très intéressant.

Après la viiste nous avons repris la route . Le soleil est revenu. La traversée de Rio Cuarto, grande ville de la région nous a pris du temps La police nous accompagne toujours sur l’ensemble de notre parcours.



vendredi 21 février 2014

De Canals à Reduccion : 110 km
La pluie fait son apparition
Sous la toile de tente, nous parviennent les grondements d’un orage au cours de la nuit. La pluie suit et le mauvais temps semble s’installer.
Au petit matin, le terrain de camping est détrempé. Il pleut toujours. Nous démontons nos tentes que nous feront sécher plus tard
Le Toyota de la ville nous fait escorte jusqu’à la mairie (municipalidad ; le maire est « Signor Intendente ») où nous attend un petit déjeuner très copieux . les jeunes sportifs de la communes nous escorterons (toujours sous une bonne pluie) jusqu’à la sortie de la ville.
Le vent est favorable et nous roulons sous escorte policière. Nous roulons assez vite car le vent est nettement favorable. (30 à 35 km/heure)

Nous nous arrêtons à La Carlota, moyenne bourgade de la région, pour prendre le ravitaillement ; nouvel interview avec la télé locale. La pluie a cessé mais nous sommes trempés. Nous nous hâtons vers la ville étape de ce soir (Reduccion  )  assez petite ville où nous avions réservé un excellent hôtel ; nous allons pouvoir faire sécher nos vêtemenst et passer une bonne nuit en nous couchant de bonne heure. Non pas , le maire de la commune s’est annoncé pour une visite amicale ce soir à 21 heures. 
 arrivée à la mairie pour le petit déjeuner; les jeunes nous attendent

 Petit déjeuner à la mairie (De dos le docteur Arzu)

 essai en tandem

 pause sous la pluie

 rencontre avec un gaucho
20 février : Veneto Tuarto -> Canals
« Protégés de bout en bout par la police » (très bienveillante)
Depuis aujourd’hui, un véhicule de police (genre  Toyota  ) nous fait escorte pour assurer notre protection sur la route. Il y a un système de relais tous les (50 km à peu près. Non pas que notre comportement routiers soit dangereux : notre Peugeot Expert dispose d’un gyrophare et d’un énorme panneau à l’arrière réalisé en France par ABC Enseigne. Les voitures et les camions se déportent très fortement et font parfois des signes amicaux.

Une question a été posée par un bloggeur sur le réseau routier : pour le moment les axes que nous utilisons (RN : ruta nacional) et RP (ruta provincial) sont bonnes mais le réseau secondaire qui relie sur de grands espaces parfois de 50 km par exemple est en terre battue : il permet  la jonction avec de petits villages agricoles. Les villages sont souvent en retrait de 4 à 6 km par rapport à l’axe de la route (il y en a assez peu) mais sont sur le tracé des anciennes voies de chemin de fer abandonnées depuis longtemps (réseau voies étroites)
Les villes et les villages sont composés de rues à l'équerre ; les argentins parlent de "blocks"


retour sur la soirée du 19 à Venado Tuerto : André servi par le maire (d'uen vilel de 100 000 habitants!)


 échange de fanions du Rotary avec un représentant du club local

 Retour à notre hébergement après la soirée.

 La route entre Venido Tuarto et Canals

 Pause. Au premier plan le véhicule de police qui nous escorte


 L'installation des tentes à Canals

 L'Asado servi par la mairie (présence du maire et de nombeux adjoints et des sportifs cyclistes)

La soirée est très arrosée

Une question sur les paysages  : pour le moment et jusqu’à demain nous sommes dans la pampa où nous avons fait déjà 600KM.  De chaque côté des routes, en maints endroits, l’eau est affleurante et forme des lagunes. L’agriculture est soignée ; on trouve de part et d’autres de la route d’immenses champs en céréales, maïs ou en soja. Le paysage est très plat (mais cela ne va pas durer) et parfois un peu lassant (« Après la longue ligne droite, une autre longue ligne droite »).
Normalement, on devrait avoir très chaud et avoir un vent contraire ; nous avons un temps modérément chaud et plutôt un vent favorable.
L’air est saturé d’humidité si bien que notre linge ne sèche que difficilement.
Quelques faits marquant de notre journée du 20 :
Nous sommes invités à prendre notre petit déjeuner dans un bar de la ville par la municipalité puis nous quittons la ville sous escorte policière qui ne nous quittera pas de relais en relai jusqu’à Canal.
A Canals (12000 habitants), nous sommes accueillis  à quatre km de la ville ( à une bifurcation)par une délégation de la mairie (le maire, l’adjointe aux sports, et d’autres personnalités) et bien sûr notre hôte, le docteur Arzu. Il nous emmène au terrain de camping très élégant où nous pouvons installer nos tentes où nous le désirons. Un plongeon dans la belle piscine (eau salée ?) puis nous préparons notre campement.

A 20h30, le maire et les autorités représentatives locales  nous invitent à une dégustation de viandes succulentes. C’est notre premier vrai ASADO. On nous fait goûter les vins de Mendoza (Blancs, rouges). Nous sommes pompettes quand nous regagnons nos tentes après 23 heures.

jeudi 20 février 2014




4ème étape : Colon-> Venado Tuerto
UN ACCUEIL DELIRANT
 C’est aujourd’hui l’anniversaire de Philippe : 54 ans
Le trajet emprunte la Ruta n° 8 sur les 97 km du trajet.
Nous faisons une pause dans un endroit calme et bien ventilé exactement à la moitié du trajet . (Depuis le début de notre voyage, le vent n’est pas contraire et même plutôt favorable (souvent à « 4 heures »)
Suite aux contacts pris par l’intermédiaire de Janick, nous sommes attendus à 25 km de Venado Tuerto ; « attendus » en principe par Roberto !
En réalité, ce n’est pas une personne qui nous attend mais les cyclistes de la ville entière ( 100 000 habitants).
Une banderole barre la ruta 8 . Marseillaise.  Et nous voilà partis tous ensemble en caravane sur  25 km ; à peu près 150 cyclistes  dont de nombreux handicapés visuels (3 tandems) . A l’approche de la ville la caravane est renforcée par deux véhicules de police , toutes sirènes hurlantes. Enfin, nous arrivons sur la place de la Municipalidad.  A quoi peut-on comparer cet accueil ? A celui fàit à Lindbergh après son arrivée au Bourget en 1927 ? C’est de cet ordre là. Monsieur le Maire nous attend avec une traductrice. Le maire nous remet un document officiel qui fait de nous les hôtes d’honneur de la ville.
On nous conduit vers notre hébergement (« L’albergue municipale »). Il est alors 18 heures ; on viendra nous chercher à 20h30 pour diner.

 Le soir, dîner : Excellente Pollo accompagnés de pâtes et de vin de cépage Malbec -Sirah. Nous sommes  de retour à notre hébergement vers minuit.(totale prise en charge financière par la commune)

(NB : difficultés de réception des images ; elles eront publiées ultérieurement)