dimanche 16 mars 2014

Ce voyage a été possible grâce au soutien de :
-l’association Tandem-Handisport-Solidarité  qui nous a soutenu financièrement dans le respect de ses statuts
-des très nombreux donateurs qui ont « offert » des km et permis d’alléger les frais du voyage.
-les sponsors :
-La Société ESSILOR
-La Société Baudoux
-Le rotary Club de La Rochelle
-Monsieur le Député Olivier Falorni
-l’association Vélo-Ecole de La Rochelle
-le Comité départemental 17 de Cyclotourisme
-Le Crédit Mutuel de La Rochelle Nord
-La Banque Populaire du Nord représentée par ses sociétaires de Laon (02)
-l’AF3V (association française des Voies Vertes) de La Rochelle
-Le Conseil Général de l’Aisne
-l’AVH de Dijon
-le club sportif de Bourgoin jallieu
-Le Performing Arts Forum de Saint-Erme (02)
-La Fondation Luc Legrain de Belgique
-Les secouristes MSA du Parc Naturel Régional des Causses du Quercy
-La ligue cyclotouristique de Poitou-Charente
-le magasin de cycles Mondovélo et l’entreprise Abis de Montpellier
-la Société ABC Enseignes à Sissonne (02)
-Les associations  AVH de Grenoble et de Montpellier
-l’Office intercommunal et de loisirs de St Géry (46)
-l’association « Le Clos des Capucins » de Yenne (73)
-L’association cyclotouristique Leymoise (46)
-l’association « Rencontre » de Montpellier
-le Comité Handisport de la Marne (Mr Perran)

-nos nombreux soutiens argentins, chiliens  et français :

Je voudrais d’abord citer :
-Janick de Oliveira Cezar, son mari Ralph  et son gendre Ignatio Aramendi, leurs amis Enrique et Silvina Couzier
-Maria-Cosette Godoy Hidalgo sans lesquelles nous aurions été dans des embarras extrêmes à notre arrivée à Santiago pour les premières formalités (Jean et moi)

-Le señor Martin Boldu  de la municipalité de San Andres de Giles, le señor intendente et tous les sportifs de la ville qui nous ont choyés au cours de notre passage
-Mr le maire (Intendente) de Salto, Oscar Brasca, qui a mis à notre disposition des moyens d’hébergement, Cécilia chargée des sports qui nous a pilotés dans la ville et toute l’équipe des sportifs et de l’administration municipale qui nous a logés et remis la médaille de la ville.
-Monsieur le Maire de la commune de Venado Tuerto qui nous a fait citoyens d’honneur par décret municipal n°010 14 de sa ville, Mr Roberto Cicerchia qui anime le club cycliste et tous les citoyens de la ville qui nous ont accueilli et accompagnés au cours de notre passage, nous ont hébergés et nous ont offert un repas dans leur salle des fêtes.
-Monsieur le Maire de Canals Carlos Peiretti, le Docteur Marcelo Arzu, président du club Atletico Libertad et les sportifs de la ville qui nous ont régalés de leur magnifique asado et nous ont accueillis  dans la salle principale  de la mairie pour nous offrir un pantagruélique petit déjeuner avant d’affronter la route.
- Merci à Monsieur le curé de Reduccion qui nous a fait visiter son église (lieu de pèlerinage  à ND de la Buene Muerte) et nous a remis à chacun une croix.
-En raison de l’indisposition de deux d’entre nous qui avaient mangé des champignons vénéneux et de leur très courte mais très forte indisposition, nous avons manqué le rendez-vous avec Mr Elio Poffo, maire d’Achiras qui nous attendait. Nous avons échangé avec lui par mail  en lui manifestant nos regrets. Nous nous excusons vivement encore  auprès de lui.
-Nous remercions aussi Mme Delfina Frers qui nous avait prévu l’hôtel à El Volcano alors que nous avons piqué sur San Luis directement à la suite d’une très importante averse et préféré l’auberge de Jeunesse de la ville. (Nous l’avons prévenu à temps)
-Un immense merci au Docteur ophtalmologiste, Carlos Kotlik qui nous a accueillis dans sa clinique puis invité à dîner et à découvrir les vins au cours d’un mémorable dîner fait de spécialités de son pays.
-un grand très grand merci à Eric Savard qui nous a accueilli à Los Andes, d’abord Jean et moi (au cours de notre voyage « aller » : il nous avait offert un splendide dîner et nous avait hébergé) ; il nous a à nouveau reçu mai cette fois à 12 dans sa clinique, s’est occupé des réservations et a passé la soirée avec nous, nous permettant de mieux nous familiariser avec  le Chili que nous allions découvrir.
-un immense merci au Señor Pelayo de Santiago qui a mis à notre disposition le fourgon de son club cycliste pour nous réacheminer depuis Valparaiso jusqu’à l’auberge de Jeunesse de Santiago ; un grand merci au chauffeur Mr Gomez.
-Merci à Eduardo Aninat qui nous a reçu chez lui le soir de notre arrivée.
Merci à Thérèse Urrutia de Paris qui nous a mis en relation avec le señor Pelayo.

Je ne peux pas ne pas citer encore :

-          José Maria Simone et son assistant-manager Eliza qui nous ont facilité les changes euro/peso  nous permettant de voyager à bon compte au cours de ces 3 semaines. Je cite à nouveau janick de Oliveira Cezar qui a réglé le problème difficile et au départ insoluble du transport des tandems entre l’aéroport d’Azeiza et la ville d Buenos Aires. Maria Cosette a joué le même rôle entre la ville de Santiago et l’aéroport Benitez de Santiago
-          Yves Duparfait de France qui a beaucoup voyagé à bicyclette en Argentine et au Chili et nous a notamment mis en relation avec Eric Savard
-          Je salue les familles Moquet et Dauger qui ont mis à notre disposition leurs relations à Buenos Aires
-          Je remercie Rodrigo Whitelaw qui m’a aidé à négocier la location de voiture avec la société Alamo du Chili et Gwenola Robin qui m’a fait les traductions en bon espagnol des courriers aux maires des communes traversées (ainsi que Janick)

Une immense reconnaissance envers notre « treizième homme » JEA LUC LEFLON qui nous a conduit et recherché à l’aéroport de Roissy, a fait le relais pendant tout le parcours entre nous et nos familles et amis, leur permettant de suivre de près notre voyage, transmis leurs commentaires et nous a préparé la réception à l’arrivée à l’aéroport.

Grâce à toutes ces personnes au cours des trois semaines de voyage nous avons eu le statut de « vedettes ». C’était aussi agréable et gonflant pour notre vanité personnelle qu’immérité.

Je répéterais ce que j’ai dit chemin faisant à ceux qui nous ont accueillis qu’ils ont désormais des amis en France, prêts à les accueillir s’ils venaient chez nous. Je sais que Janick de Oliveira va venir en France en Septembre, qu’Eric Savard va également passer et que Maria Cosette présentera sa thèse à Grenoble début 2015. (J’ai promis de conduire sa maman à Lourdes).

Je sais que chacun de nous, sommes dans le même état d’esprit Il ne sera pas dit que les français ne sont pas à la hauteur de leurs amis argentins et chiliens pour ce qui est du sens de l’accueil et de la reconnaissance.

Je dirais enfin que je remercie mes amis qui m’ont supporté pendant ces trois semaines ; la préparation effectuée avec soin ne laissait que trop peu de places aux initiatives que chacun aurait peut-être aimé prendre (revers de la médaille



A toutes et à tous,  M E R C I 

André




vendredi 14 mars 2014

Quelques remarques pour conclure : (André)

  
1/ Les défis à relever.

-le premier défi : apprendre à me débrouiller en espagnol grâce à des cours suivis à l’Institution ND de Liesse. Sans cette familiarisation avec la langue, cela aurait été très compliqué
-le second défi : le travail de préparation a été important. Si je l’avais imaginé au départ, je ne crois pas que je serais parti et cela aurait été bien dommage.
-le défi sportif ne m’a posé  de problèmes à aucun moment ; je n’ai pas ressenti de gêne en altitude. Aucun de nous n’a eu le mal des montagnes. (Le trajet d’Ouest en Est que nous avions choisi permettait une longue période d’acclimatation)

-Les mises en garde ont été démenties par les faits :
à propos de la chaleur : une météo –paraît-il – inhabituelle en cette saison : la température n’était pas excessive et nous avons même eu des jours de pluies.
On nous avait annoncé des vents d’une extrême violence et de face ; il y a bien eu des coups de vents mai très limités et sur la plupart du parcours, ils étaient favorables.
 -les  énormes camions sur la ruta n° 7 se sont bien déportés à gauche et souvent nous ont fait des petits klaxons amicaux.

2/ Les grands souvenirs en quatre mots :


-L’accueil fantastique des argentins et de nos amis chiliens : comme j’ai dit à beaucoup et spécialement à Maria-Cosette, je serai heureux de recevoir en France  ceux qui  nous ont si bien accueillis dans leur pays. Ce sens de l’accueil fait réfléchir car il me semble que les français ne sont pas au niveau des argentins. J’aimerais démentir cette impression
Maria-Cosette et son petit chat

accueil sur la palce de la mairie de Venido Tuarto


-L’asado : j’ai été impressionné par cette viande savoureuse que nous ont servi nos amis ou que nous avons consommé au restaurant. Je crois que je n’étais pas le seul. Je dirai que, pour qui est amateur de bonne viande, cela vaut vraiment le voyage. Je ne m’explique d’ailleurs pas comment il est possible d’atteindre cette qualité gustative. Je pense que la réponse est dans un élevage extensif de pâturages immenses que nous avons traversés dans la pampa.


L'asado de Canals

-les caracolès : ce sont des chemins qui serpentent à l’assaut des reliefs permettant la circulation de voitures et également de nos bicyclettes. J’ai regretté un peu que l’information routière soit insuffisante et je me rappellerai longtemps la contradiction entre les carabiniers ou même les autochtones qui nous annonçaient que tel chemin n’était pas franchissable alors que ces parcours ne posaient pas de difficulté

Les Caracolès de Villavicencio

-L’océano Pacifico : cela fait plaisir, après 3 semaines de vélo de l’atteindre et de voir les pélicans se  prélasser sur les rochers. Valparaiso, ville au patrimoine mondial, au bout de la route, grouillante, avec  ses bus qui foncent quand le feu est au vert et ne semblent pas vouloir vous laisser passer, est assez conforme à la ville que nous avons imaginée grâce aux livres
   
L'Océano Pacifico

                            Valparaiso                                                                               
                                                                                                                                                                                                                                                                                                                             

mardi 11 mars 2014

Visite de Santiago et préparatifs du retour
Vendredi 7 Mars en début de soirée
Arrivée sans encombre à l’hôtel-auberge de jeunesse et installation ; visite à Mr Eduardo Aninat sur son invitation ; dîner très sympathique arrosé de bons vins mais  quantitativement un peu léger pour des  rouleurs. (Très aimablement, le 9 au soir, Eduardo, nous apportera une petite carte souvenir de Valparaiso)
(Apéritif typique des chilien rafraichissants « le pisco », frais  doucement mousseux grâce à un blanc d’œuf à base de citron vert enrichi d’un alcool dont on ne connaît pas la composition-voir internet)  deviendra  celui  de nos repas du soir pendant ces 3 jours passé à Santiago





Samedi 8 Mars :
Il nous faut préparer le conditionnement des tandems en vue du voyage en Avion. Philippe et André partent en chasse auprès des vendeurs de bicyclettes pour dénicher des cartons. Pendant ce temps (une grosse matinée), nos amis partent à la découverte de la ville.
Nous avons depuis longtemps pris l’habitude des horaires argentins et chiliens : nous ne déjeunons pas avant 14 heures et dînons à 22 heures  (retour au-delà de minuit)
L’après-midi après une sieste réparatrice, nous partons tous en excursion en ville et choisissons en particulier de monter en funiculaire de  San Cristobal couronné par une statue de la vierge qui domine la ville (magnifique vue sur cette gigantesque métropole).
J’excursion se continue suivant un parcours établi par Daniel e t Michel (Retour à 21 heures)








Dimanche 9 Mars
Nous partons chez Maria Cosette avec les tandems , les cartons que nous avons recueillis, les cutters, scotchs ; tendeurs, ficelles et adhésifs achetés sur place et réalisons 5 emballages très « pros ». 0n les remet au transporteur ; retour à 15 heures à l’auberge de jeunesse où l’équipe restée sur place nous a préparé un superbe déjeuner.
Mais le temps presse car nous avons rendez-vous avec Joséphine et Olivier, qui vivent au milieu des pauvres d’un quartier au nord de la ville.
Ils nous parlent de leur mission :faire le porte à porte auprès des personnes, les écouter raconter  leurs histoires souvent douloureuses : être  auprès d’eux dans la proximité et la compassion ; être une présence de l’Eglise au milieu d’eux. ATD Quart Monde a financé la construction d’une chapelle que nous visitons au cours de notre tour du quartier dont Joséphine et Olivier assurent la gestion.



Avec Joséphine et Olivier auprès de la Chapelle ND des Pauvres

Préparation du pain

Dans la soirée nous nous offrons un dernier dîner dans le quartier ; demain, c’est le départ.
Lundi 10 Mars
Denis et André partent les premiers et se rendent en taxi jusque chez Maria Cosette où ils prennent un petit déjeuner .
Le transporteur les prend en charge et les amène à l’aéroport (première difficulté de la matinée : il nous amène au départ « cargo » alors que nous désirons aller à « départ passagers internationaux « )
Finalement, les choses rentrent dans l’ordre et démontrent le bon choix de notre organisation ; si nous n’avions pas accompagné le chauffeur, on n’aurait jamais retrouvé nos tandems .
La voiture et un taxi arrivent de l’auberget  et rejoignent Denis et André . Puis c’est la formalité qui consiste à rendre le véhicule et là nous touchons de prêt les combines malhonnêtes des loueurs de voiture. Malgré tous nos soins , il trouve tout de duite une légère piqure au pare-brise (à peine visible). Elle s’y trouvait peut-être déjà ! Ils nous facturent un pare-brise neuf ; 1570 dollars ! Tout cela est très choquant et probablement récurant. On verra pour faire une lettre au ministère du tourisme du pays mais on sait qu’on perdra notre temps (l’image du Chili peut être affectée par ce genre de pratiques
L’enregistrement de nos bagages est lent mais fait avec beaucoup de patience et de gentillesse par Air France (pas simple de se défendre et de rappeler que les colis (5 tandems) ont été prépayés.
Dernière difficulté : l’un des tandems fait 37 kg alors que 32 est le poids limite autorisé. Tout finit par s’arranger ; Air France ferme les yeux.

Nous sommes dans l’avion, direction Paris

Gentil lama pour touristes

La montée par le funiculaire de San Cristobal

Santiago à nos pieds

La madonne au sommet du Cerros San Cristobal

Jean mange un asado chilien

départ pour se rendre chez Maria Cosette

emballage des tandems

autre vue de l'emballage

samedi 8 mars 2014

(vendredi 7 mars)
de Valparaiso à Santiago
(en minibus)

Le matin, dernière balade dans la ville , derniers petits achats.
A 13h45, le transport qui avait été mis à notre disposition pour transférer les personnes et le matériel est arrivé . Quelques émotions pour charger nos tandems sur la remorque sans les abîmer. Le chauffeur Mr Gomez, passe par le vallon de Valparaiso et traverse un secteur d'habitat modeste à flanc de coteau. Les pentes sont très importantes; le sommet de la butte nous permet de découvrir la ville de Valparaiso depuis "la terre".
Lors du trajet par autoroute (120 km), on se rend compte de la sécheresse des terres  en cette période encore estivale qui correspond à notre mois de septembre.
Arrivée à Santiago : centre-ville comme les grandes capitales européennes.
A 20 h 30 nous partons chez Mr Eduardo Aninat en taxi ; il nous a invité à son domicile. Nous passons une soirée sympathique avec notre hôte. (attention, pour l'alcool au volant, le Chili a la tolérance "zéro"
De retour avant minuit (il y a 12 km)












vendredi 7 mars 2014

(6 Mars)

Découverte de Valparaiso


Promenade en bateau  qui permet à partir du large de découvrir les "Cerros" (vallons)
Ville colorée où les maisons descendent vers la côte reliées par des rues à forte déclivité; des ascenseurs et des funiculaires (on en a compté 7) ; maisons peintes donnant une palette de couleurs.
Nous n'avons pas accédé dans les quartiers les plus populaires sous les injonctions de la police et d'un chauffeur de bus car, semble-t'il, il y a des risques de vol.
Très nombreuses fresques murales
Pas mal de français installés dans le domaine artistique notamment.
Dîner le soir dans un restaurant assez chic. Le coût de la vie est supérieur à celui de l'Argentine.
Le pays bénéficie naturellement d'une protection biologique grâce à la Cordillère des Andes (il a été préservé du phyloxéra);
Il est le sixième producteur de semences dans le monde et travaille à "contre-temps" avec l'hémisphère nord  pour qui il produit ces semences.
Mais (paroles de'ingénieurs INRA français qui travaillent sur le pays), il est inexact de dire qu'il n'utilise pas de pesticides; ce serait plutôt le contraire.
l'hôtel "auberge de jeunesse"













jeudi 6 mars 2014

L'OCEAN PACIFIQUE

Tous autour du blog :

Patrice: après cette belle journée ensoleillée, en dessert, une côte à fort pourcentage pour arriver.
Daniel : je trouve que Valparaiso n'a rien à envier à San Francisco
Odile : le plus beau ; cette route en corniche le long de cette côte escarpée le long de l'océan, c'est magnifique.
Denis : Beau projet, pari réussi, nous sommes accueillis à Valparaiso ville mythique par de beaux pélicans.
Jean Marc : waouh! Qu'est ce qu'on a fait ! d'Est en Ouest, c'était super.
André : Ouf, tout s'est bien passé!
Simone : la joie de voir la mer et d'arriver à Valparaiso
Philippe : Ce soir le soleil se couche sur l'Océan et non plus sur les montagnes
Jean Pierre : aux anges !
Jean : accueil formidable des habitants
Michel : très bon contact avec la population locale
Antoine : impression aussi géante que la puissance du Pacifique

NB :tremblement de terre de 5,5 sur l'échelle de Richter cette nuit ; certains l'ont perçus; d'autres ne se sont pas réveillés; c'est très courant ici. Épicentre à 23 km


changement de plaquettes de freins par Daniel sous le regard impressionné d'André 

sur l'autoroute panaméricain pendant une quinzaine de km

Sur une route provinciale


La panaméricaine réserve une surprise; mais la traversée ne fait que 400 m

Sur une petite route sympathique

Dans une partie urbaine

Dans une partie urbaine (suite)

Daniel nous fait déguster des figues de barbarie

L'océan n'est plus qu'à quelques km

CA Y EST !

N'est ce pas Jean Pierre!

gaffe aux tsunamis!

Suivez la flèche!

le rivage de l'océan

sur la route de corniche

approche de Valparaiso: ça se complique car la route est réservée aux véhicules motorisés

On rentre dans Vina del Mar

Vina del mar

On est bloqué par la police (on était à la recherche de la piste cyclable qui est passée de l'autre côté de la voie de chemin de fer

 Et si on essayait de retrouver la  piste cyclable

On cherche

 Encore un  effort.

 Ca y est

un cycliste espagnol nous aide à trouver notre chemin et nous guide sur 2, 5 km


L'auberge est la maison en haut sur la photo

Jean Marc et André attaquent la dernière côte

On est arrivé!
l